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Markus Sandvik- Ceux qui donnent la mort n'ont pas le droit de narrer la vie.

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Markus Sandvik
Date d'inscription : 22/08/2023
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Âge du personnage : 30
Métier : Chef du Gang "Dragon Ecarlate"
Relations : Esus ; logeur / ami.
Markus Sandvik


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Markus Sandvik- Ceux qui donnent la mort n'ont pas le droit de narrer la vie. EmptyMar 22 Aoû 2023 - 10:41

Markus Sandvik

« people live to save themselves. you will understand that at the moment of your own death. » - paulo coelho


HistoireUn passé, un présent et un futur

Au loin, j'entendais quelqu'un hurler. Lorsque ma gorge est devenue douloureuse, j’ai fini par comprendre que c’était le son de ma propre voix.

Image
cc - mihotose

J’ai vécu deux fois. C’est du moins ainsi que je perçois le chemin que j’ai parcouru. Ma première existence, enveloppée de violence, d’illusions brisées, fut chaotique. Je n’ai, de mes parents, pas le moindre souvenir, pas la moindre sensation - même la plus lointaine, la plus infime. Aucune douceur, aucune voix rassurante qui viendrait apaiser de quelconques blessures. Cette tranche-là de ma vie n’est guère intéressante ; des souvenirs éparpillés, une violence inéluctable, le désespoir qui mène à la survie. Puis, au milieu d’un paysage noyé de ténèbres, une main est venue saisir la mienne. Je devais avoir huit ans, tout au plus, mais cette silhouette derrière laquelle j’allais m’élancer à corps perdu fut celle de l’homme qui changea le cours de ma vie.

Tormod Sandvik. C’est ainsi qu’il s’appelait.

Fragment 1
J’avais neuf ans.

« Où as-tu appris à lire, petit ? » il y avait, dans le son de sa voix, une curiosité sincère.
« Je ne suis pas si petit que ça. » une réponse marmonnée derrière les pages ouvertes de mon livre.

Un rire échappa à Tormod et il m’ébouriffa les cheveux. Je relevai la tête vers lui, toujours surpris par ces gestes d’affection si spontanés, inattendus. Nous étions installés dans un petit appartement des quartiers populaires ; un endroit confortable à mes yeux. Je n’oublierais jamais l’odeur de tabac qui emplissait la pièce principale, le papier peint que le temps et la moisissure avaient décollé du mur par endroit, le petit poêle qui diffusait une chaleur agréable lors de périodes de grands froids, le petit lit occupé par Tormod et le matelas négligé qui me servait de couche. Le plus grand trésor de cet endroit était une bibliothèque où divers livres étaient alignés et que j’avais pris l’habitude de piquer.

« Tu es un sacré petit, toi. Si tu sais lire et que tu aimes ça, laisse-moi te faire un cadeau… » il farfouilla dans son étagère et m’offrit un livre qui parlait d’un berger et d’un alchimiste.

C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. - Paulo Coelho.

Fragment 2
J’avais dix ans.

La lame effleura ma joue. Les yeux de Tormod sur moi étaient perçants. Ses paroles dures. Il exigea que je reprenne ma posture, que je me défende. L’entraînement était difficile, éprouvant, parfois douloureux. Il me semblait pourtant nécessaire, comme un exutoire. Chaque nouvelle étape me donnait des objectifs, un but à atteindre pour m’améliorer. Il m’apprenait à manier le katana, une arme qui, disait-il, appartenait à ceux qui suivaient une certaine éthique. Bienveillance, respect, loyauté, sincérité, droiture, honneur et courage en étaient les précepts principaux - bien qu’il ne me les enseigna jamais directement, c’est son comportement envers moi, sa manière de me guider, de m’enseigner qui me conduisit naturellement sur cette voie.
Épuisé par les heures d’entraînements, je finis par m’effondrer, les bras et les jambes tremblants. Alors que je m’attendais à des réprimandes, mes efforts furent récompensés par une tape chaleureuse au sommet de mon crâne. Le « C’est bien, » qui franchit la barrière de ses lèvres resta longtemps gravé dans ma mémoire.  

Fragment 3
J’avais onze ans.

« Qui vous dit que je ne vais pas partir avec et ne jamais revenir ? » demandai-je avec l’impétuosité d’une jeunesse mordante.
« Tu pourrais, c’est vrai. Mais, en te prêtant cette plaque, je te fais confiance. A toi de choisir ce que tu décideras d’en faire. » répondit Tormod, placide, en allumant une cigarette.

Mon poing se rouvrit autour de la plaque militaire déposée dans le creux de ma main. A l’intérieur, se trouvait la gemme utilisée par mon mentor pour canaliser son potentiel magique. Je ne comprenais pas, alors, ce qui le poussait à faire confiance à un gamin tout juste sorti de la rue, mais je suis aujourd’hui heureux qu’il me l’ait accordé - et je sais aussi qu’il voulait faire de moi quelqu’un de meilleur.  

« Et si ça ne marche pas ? »
« Ça marchera. » à son affirmation, je relevais la tête pour le regarder. Il avait l’air si calme, si serein, alors que je ne parvenais pas à voir où tout cela allait nous mener. C’était un sentiment très curieux, coincé au fond de ma gorge.

Après avoir terminé sa cigarette, il posa une main chaleureuse sur mon épaule et me poussa vers l’avant. Ce fut mon premier entraînement avec la gemme d’anticipation de mon mentor - et je ne savais pas alors que je finirais pas en hériter plus vite que prévu.

Fragment 4
J’avais douze ans.

« Pourquoi ? » ma question était sèche, dure, aussi inflexible que la lame tranchante d’un katana. Le regard de Tormod était triste, fatigué. C’est la première fois que je le voyais aussi las.
« Viens t’asseoir, ici. »

Je restais immobile, les poings serrés le long de mon corps. J’attendais des réponses. Pour la première fois, j’avais suivi Tormod lorsqu’il quittait l’appartement. Il menait des affaires dans le Quartier Mal Famé. Alors que je restais debout, un soupir franchit ses lèvres.

« Tu es encore jeune. J’aurais préféré éviter d’en arriver à de telles explications. J’ai tué cet homme parce que c’est mon travail. Et parce qu’il menaçait les affaires de mon gang. »

Sonné par de telles révélations, j’entendis mes oreilles siffler. Ces aveux n’étaient pas logiques, n’entraient pas en corrélation avec ce que j’avais jusqu’alors perçu de lui. Et j’étais encore jeune ; à cette époque, tout était blanc ou noir à mes yeux. J’ai fait demi-tour, et je suis parti. J’ai marché pendant très longtemps, sans savoir vraiment où aller. Mes pas me menèrent jusqu’à un petit canal près duquel je m’assis pendant de très longues heures. C’est au crépuscule qu’il vint me trouver et qu’il s’assit à côté de moi.

« Le monde n’est pas toujours un endroit très plaisant, c’est pourquoi il vaut mieux agir toujours selon notre cœur et notre conscience. Tu peux choisir de partir, si tu veux. J’en serais très attristé mais tu n’es pas un prisonnier, chez moi. Tu peux repartir d’où tu viens, aller ailleurs si tu penses y trouver ce que tu cherches. »

Je ne sais pas vraiment pourquoi mon cœur se gonfla d’une profonde tristesse, à ces mots. Je me souviens seulement avoir levé sur lui un regard humide, m’être mordu la lèvres, et lui avoir posé cette question :

« Pourquoi vous m’avez recueilli ? »  

Et de sa réponse :

« Parce que c’est ce qui me semblait juste. »

C’est tout ce qu’il m’a fallu pour me relever et pour le suivre à nouveau. Il me raconta alors sa propre vie, pendant longtemps. Et, malgré mon jeune âge, et parce que j’avais appris à le respecter, j’écoutais tout ce qu’il avait à me dire. Il me parla d’un passé tumultueux au sein de l’armée, de batailles qui n’étaient pas les siennes, d’idées qui n’étaient pas les siennes ; comment il avait quitté son poste avec l’espoir de changer les choses, de les rendre meilleures, en commençant par les quartiers les plus pauvres ; la manière dont il avait rencontré des jeunes gens comme moi, comment il les avait aidé, comment ils étaient devenus ses associés ; il m’expliqua enfin certaines tâches qu’impliquaient son travail, la défense d’un territoire pour imposer des idées. Quand il eut terminé, il me dit :

« Tu n’as pas de nom de famille. Que dirais-tu de prendre le mien ? »

Et j’acceptais.

Fragment 5
J’avais dix-sept ans

Je me souviens de la panique. De l'urgence. De l'espoir qui se rompt. De la douleur. Du bourdonnement. Du temps qui s'arrête. De hurlements lointains. D'une voix qui se brise. D'une gorge douloureuse. D’éclats d’existences, d'images fragmentées, de larmes qui ne coulent pas. Je me souviens de tout cela à la fois comme un tourbillon qui aspire tout, engloutit tout, et se referme définitivement sur la vie.

« Elle est à toi, désormais, Markus. » ma paume s’ouvrit sur la plaque militaire dans laquelle était cachée la gemme. « Les gens ne vivent que pour se sauver eux-mêmes… »

Une histoire de vengeance. C’est à cause de ça que Tormod est mort.
J’appris plus tard qu'il n’était pas quelqu’un de très apprécié, dans l’armée, qu’il avait laissé un goût amer à certains (pour des raisons que j’ignore toujours tout à fait). Il s’était fait piéger et l’avait payé de sa vie. Qui se soucie de la mort d’un malfrat dans les Quartiers Mal Famés, de toute façon ?
J’ai longtemps cherché les coupables, en vain. Avec Tormod étaient morts les membres du gang - et leurs noms avec eux. C’était il y a treize ans. Les noms ne restent jamais gravés longtemps dans l’histoire, ici - seuls les plus anciens s'en souviennent, sans doute.  

Moi, j’ai erré pendant longtemps sans avoir de but. Sans objectif. Je suis tombé bien bas, à nouveau. Un tueur à gages qui ne donnait jamais son nom, qui ne se montrait jamais. Mon katana s’est retrouvé taché de sang - comme la mémoire de Tormod. Une trahison qui allait au-delà de la mort. Je n’appartenais à rien, n’aspirais à rien, n’étais rien.

C’est à vingt-trois ans que ma vie bascula à nouveau. Lorsque, dans les rues marchandes, auprès d’un vieux bouquiniste, je trouvais une édition du livre que m’avait offert Tormod, lorsque j’étais plus jeune. L’histoire du berger et de l’alchimiste. Je l’achetais et m’assis au bord du canal pour le lire. Les mots qui m’avaient autrefois vaguement intéressés me frappèrent. Et la morale inculquée par Tormod revint par vagues entières. Il ne m’avait sorti de la violence et du désespoir pour me forger un avenir meilleur. Pour me donner une chance. Pour me permettre de suivre, plus tard, ma propre voie.

C’est ce jour-là, assis au bord du canal, que je décidais de ranger ma lame et de ne plus m’en servir qu’en cas d’extrême nécessité. Ce jour-là, aussi, que je choisis de suivre mon instinct, d’agir selon ce qui me semblait juste. Mais avant d’aspirer à une vie meilleure, il me fallait rembourser mes dettes - celles pour les vies que j’avais prises. Celles pour la trahison faite à Tormod après sa mort.

Fragment 6
De nos jours

« Markus, j’ai des info’ sur le type qui a essayé de venir empiéter sur nos plates-bandes. »

Mes yeux se posent sur le visage d’Ed’, un des premiers à avoir rejoint le gang du Dragon Écarlate lorsque je l’ai remis sur pied. Il a une quinzaine d’années et est très territorial. Comme beaucoup d’autres, il est aussi très prompt à la violence. Je referme mon livre et pose mes yeux sur son visage déterminé.

« Comment vas-tu t’y prendre ? »
« Juste de l’intimidation. Il faudrait pas penser qu’on se laisse faire. »

Je hoche la tête.

« Tu as voulu t’en occuper. Je te fais confiance pour traiter ça comme il te convient. »

Ed’ hoche la tête et repart. Je m’adosse contre le mur et laisse le soleil venir grignoter une partie de mon visage. Les jeunes gens qui forment le gang sont tous très passionnés et, surtout, ils veulent améliorer les choses, les faire changer. Certains sont plus enclins à la violence que d’autres - comment leur en vouloir. Mais ils ne remettent jamais en question mes décisions. Je les ai ramassés dans la rue, comme Tormod m’avait ramassé. Je leur offre la possibilité de choisir leur propre voie. Ils ne sont pas en prison. Nous partageons seulement des idéaux - qui s’expriment forcément de manières différentes.  

Chaque jour, nous avançons. Et lorsqu’ils seront grands, lorsqu’ils auront tous la possibilité de choisir ce qu’ils veulent, je remettrai à Ed’ la plaque militaire et la gemme, et je me retirerai. Mais ce jour est encore loin. Ils ont encore besoin de moi - autant que j’ai besoin d’eux.

« Si tu améliores le présent, ce qui viendra ensuite sera également meilleur. » - Paulo Coelho
Essence du personnageIdentité, caractéristiques physique et mentale, aptitudes
Âge : J’ai récemment atteint les trente ans, lorsque l'automne peint les arbres d’or et le ciel de gris ; je ne comprends pas encore comment j’ai atteint cet âge-là. Les années passent sans que je ne m’en aperçoive, parfois trop vite oubliées. Genre : Masculin Orientation sexuelle : Une question à laquelle je ne me suis que très peu confronté. Je ne m’arrête pas sur un genre mais bien sur un individu, et sur des sentiments. Demisexuel est le terme qui conviendrait sans doute le mieux, si je devais placer un mot précis sur mon orientation.   Métier : C’est une qualification délicate lorsque l’on porte sur les épaules le fardeau d’un métier par défaut, celui qu’on tente de rendre meilleur malgré le sang, malgré la mort, malgré la violence des quartiers les plus mal famés. Je suis un chef de gang, celui que d’autres ont nommé à ma place le Dragon écarlate. Mais je fais cela pour payer des dettes. J’aspire à une vie plus paisible, loin des conflits.   Lieu de résidence : Petite chambre louée au-dessus d’un bar dans le Quartier Marchand en échange de quelques services, je ne fais qu’y dormir de temps en temps ; la majorité de mes activités se déroulent dans le Quartier Mal Famé ou le Quartier Populaire

Caractéristiques et habilités
Physique Une silhouette élancée, souvent vêtue de noire et de rouge ; à son cou est toujours accrochée une plaque militaire, lègue de son mentor juste avant sa mort. Invisible, cachée à l’intérieur du métal, est taillée une gemme d’anticipation, cause d’un entraînement intensif depuis son plus jeune âge. Ce sont des cheveux bruns, dont quelques mèches poussent librement le long de son cou, qui encadrent un visage placide et serein. C’est sûrement le tatouage de dragon gravé le long de son bras, enroulé sur sa chair jusqu’à son épaule, depuis son adolescence qui a valu au gang son nom - un nom que Markus ne lui a pas donné, les rumeurs s’en chargeant à sa place.   Caractère Markus est un homme de très peu de mots. Les longs discours ne l’intéressent pas. Lorsqu’il parle, c’est souvent avec franchise et honnêteté ; il préfère les discussions profondes aux discours creux et insipides sur la pluie et le beau temps. Dans son silence, c’est un fin observateur. Il comprend assez bien la nature des autres, perspicace, il s’y intéresse de près ou de loin. C’est un homme qui a les pieds sur terre ; il n’est pas idéaliste mais croit en la rédemption. Il ne veut pas changer les choses, il sait qu’elles ne changeront pas forcément ; il y a des natures immuables que d’autres viendront remplacer avec leurs qualités et leurs défauts. Il n’aspire donc qu’à trouver la paix. Très attaché à son propre code d’honneur, il est un homme loyal qui aspire à rendre sa propre justice avec équité dans le but de payer des dettes marquées au fer rouge dans le sang et la douleur. D’apparence très fiable, au tempérament très calme, il ne se lie pourtant jamais vraiment aux autres, il n’y trouve pas d’intérêt concret. La solitude lui convient, et il accorde peu sa confiance.
Potentiel Plutôt élevé ; cela n’a pas toujours été le cas. Je me souviens du désordre et du chaos, des manifestations hasardeuses lors de combats de rue, lorsque j’étais encore très jeune. Et puis sont venues la rigueur, l’exigence implacable de mon mentor et de ses entraînements. Peu à peu, mon potentiel s’est déployé comme une toile, a gonflé dans mes veines et dans mes cellules pour se stabiliser. Il me reste encore bien des choses à apprendre, d’autant que je ne me bats désormais plus avec mon arme, mais je reviens de loin.Gemme(s) possédée(s) et si formes parfaites ou non Gemme d’anticipation ; Une gemme qui m’a été transmise par quelqu’un que j’admirais, mon mentor, peu de temps avant sa disparition. Elle permet à celui qui en possède le potentiel de prédire les coups d’un adversaire lors d’un combat à l’arme blanche. Une capacité qui se heurte aux limites de l’aléatoire que chaque individu possède, des données qui ne peuvent être totalement prédites. Et elle est totalement inefficace dans un combat à l’arme à feu. Niveau de maîtrise des gemmes Une maîtrise plutôt bonne suite à l’exigence d’un entraînement strict. Des heures à me heurter aux mal de crânes inéluctablesAptitude au combat J'ai appris à me battre tant avec une arme à feu qu’avec une arme blanche ; mais, étant donné mon affiliation aux gemmes corporelles, j’ai été formé au maniement du katana de manière stricte et rigoureuse. J’ai une bonne endurance et m’exerce chaque jour. Cependant, mon arme est désormais toujours rangée dans son fourreau et ne sert qu’en cas d’extrême nécessité.

InterviewLes journalistes d'Osvenbourg sont curieux
Que pensez-vous de la famille royale ? Le progrès, la gloire et le pouvoir. Trois points qui entrent en corrélation. Je n’ai pas vraiment d’avis tranché à leur sujet, car les membres de cette famille restent des individus à part entière, mais l’idéologie de cette institution, elle, me déplaît. Pour moi, c’est une hypocrisie bercée d’illusions, un système qui permet aux plus riches d’avoir accès à tout et oblige les plus défavorisés à mourir avant l’heure, ignorés et oubliés des regards. C’est une mascarade, une façade lumineuse qui dissimule une part d’ombre bien plus grande encore que la lumière qu’elle propage.
Que pensez-vous des dieux et de la religion ? Comme beaucoup d’autres, j’ai la Foi. Cependant, mes croyances ne sont pas arrêtées à ce que racontent les livres, ou ce que psalmodie l’Eglise. Pendant longtemps, perdu, j’ai rejeté toute figure divine. Foncièrement pessimiste, je croyais l’Humanité perdue. N’était-ce pas un peu facile, de la part de ces soit-disant divinités, de créer les êtres humains pour ensuite les abandonner à leur destin, comme des enfants lassés d’un jouet dysfonctionnel ? C’est une rencontre qui changea ma perspective et qui m’aida à forger une nouvelle ligne de conduite. Je ne suis pas devenu un fervent croyant, je ne pratique d’ailleurs pas vraiment, mais ma vision du monde et de la Foi s’est adoucie. Plus indulgent, je comprends davantage le sort et le destin des êtres humains que nous sommes - et éprouve pour mon prochain une compassion qui, parfois, m’étonne
Indra, la déesse de l'Âme, vous a pris en affection. Elle vous offre en cadeau une qualité absolue et éternelle : l'amour, la sagesse, la gloire, le pouvoir ou l'immortalité. Que choisissez-vous ? Je n’en choisirais aucune ; l’amour est en chacun de nous, plus ou moins dissimulé, plus ou moins avili sous des couches brisées de colère, de haine, de désespoir. La sagesse s’acquiert pour celleux qui veulent approfondir leur connaissance, et avoir une absolue connaissance ; un bon sens trop aiguisé peut être la cause d’une solitude amère, pesante. Il est bon d'avoir des limites, de ne pas tout connaître. La gloire et le pouvoir n’apportent qu’une satisfaction éphémère, vite étouffée par le désir de posséder davantage, écrasée d’ambitions démesurées. Enfin, l’immortalité est une terrible sentence ; une vie éternelle où aucune fin ne viendra jamais donner de sens à ce que la vie a de précieux dans sa fugacité.
Seriez-vous capable de tuer quelqu'un si vous pensiez avoir de bonnes raisons de le faire ? J’en serais capable (j’ai tué beaucoup de personnes, au cours de ma vie). Mais je ne le ferais pas. Qui sommes-nous pour avoir un droit de vie ou de mort sur quelqu’un ? Qui sommes-nous pour estimer que telle ou telle personne doit mourir - sinon par profit, ou au nom d’une Justice promulguée par nous-même. Aucune âme n’est meilleure qu’une autre. Face à la vie, nous sommes tous égaux. Je ne tuerai plus jamais quelqu’un - je ne serais alors pas digne d’aspirer à une vie meilleure.
Vous croisez quelqu'un dans une situation de péril mortel. Vous pouvez essayer de lui sauver la vie, au risque de mourir également. Que faites-vous ? Oui, très certainement. Si je peux agir, je le ferai sans hésiter.

Au joueur : Quels sont vos plans pour votre personnage ?J’ai quelques plans d’évolution basique, dans un premier temps ; installer un petit peu le gang de Markus au sein des quartiers mal famés et/ou populaires, discuter éventuellement de liens avec l’Obsidienne, voir ce qui peut être possible en terme de partenariats ponctuels. Il va essayer de changer un peu les choses dans les quartiers mal famés, essayer d’étouffer la violence dans son sillage, faire évoluer les orphelins qu’il a à sa charge pour qu’ils deviennent de bonnes personnes, … Il n’a pas envie de prendre part aux conflits mais y sera entraîné malgré lui.
Au joueur :  On m'appelle Sly, sur la toile, et je vais avoir vingt-sept années ; team bons pain au chocolat de Paris wsh
Au joueur : comment avez-vous connu le forum ? Monsieur Esus m'en a honteusement parlé à plusieurs reprises
Au joueur : votre avis dessus ? J'aime beaucoup le contexte et l'ambiance du forum, je demande à voir son évolution mais il est très prometteur !
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Crédit : Juri Otoko
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Ariane
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Markus Sandvik- Ceux qui donnent la mort n'ont pas le droit de narrer la vie. EmptyMar 22 Aoû 2023 - 18:24

Bienvenue parmi nous Markus !  heyyy

Ton pouvoir est super intriguant, je suis curieuse de voir comment tu vas l’utiliser en RP. Et j’ai hâte aussi d’en savoir plus sur Markus, il a l’air très posé et réfléchi pour un chef de gang.

Bon courage pour la suite de ta présentation ! N’oublie pas de poster pour prévenir le Staff quand tu l’auras terminé. En attendant, tu peux nous rejoindre sur Discord par ici si tu en as envie !  coeurcoeur

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Ariane, alias « Velvi » :


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Markus Sandvik- Ceux qui donnent la mort n'ont pas le droit de narrer la vie. EmptyMar 22 Aoû 2023 - 21:25

Bienvenue sur le forum !:admiratif: :admiratif: :admiratif:
Au plaisir d'en lire plus sur ton personnage !:hype: :l:
J'espère que tu te plairas bien parmi nous ! :coeur:
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Célestine Falcone
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Esus G. Falcone - Fils aîné
Onyx Falcone - Fille aînée
Gaia Falcone - Fille cadette
X Falcone - Fils benjamin

Célestine Falcone


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Markus Sandvik- Ceux qui donnent la mort n'ont pas le droit de narrer la vie. EmptyMer 23 Aoû 2023 - 18:42

Bienvenue sur le forum saute

Bon courage pour la suite de ta fiche, hâte de lire la suite enthousiaste et j'aime le nom du gang "Dragon écarlate" yeah yeah yeah

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Markus Sandvik
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Markus Sandvik- Ceux qui donnent la mort n'ont pas le droit de narrer la vie. EmptyJeu 24 Aoû 2023 - 8:53

Coucou tout le monde,

Merci pour votre accueil, ça me fait très plaisir. coeurcoeur clap

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Ariane
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Markus Sandvik- Ceux qui donnent la mort n'ont pas le droit de narrer la vie. EmptySam 30 Sep 2023 - 11:12

Bonjour Markus, cela fait plusieurs semaines que tu n'as pas donné de nouvelles, mais ta présentation a l'air bien avancée. Est-ce que tu l'as terminée ?

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Ariane, alias « Velvi » :


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Markus Sandvik
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Markus Sandvik- Ceux qui donnent la mort n'ont pas le droit de narrer la vie. EmptyMer 4 Oct 2023 - 14:02

Bonjour ! ♥
Oui, la fiche est terminée ! coeurcoeur

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Osvenbourg t'ouvre ses portes !


Bienvenue, Markus !

Te voilà officiellement validé ! Tu peux désormais te balader librement dans la capitale, en te souhaitant de trouver la paix dans ce monde de violence.

Pour bien commencer l'aventure, nous allons t'accompagner à l'hôtel de ville pour que tu sois recensé. Courage, les files d'attente sont interminables, mais au moins tu seras en règle !

Quand tu te seras bien installé, nous serons ravis de lire tes aventures (sujets) au côté de tes compatriotes (Liens) ! Tu pourras toujours faire de nouvelles recherches (Demandes de RP) et tenir un carnet de bord pour retracer ta progression.  

On espère que tu te plairas parmi nous !  


code (c) rainmaker

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